C’est une grande première pour notre entreprise. Notre nouveau « pôle électricité » a procédé à l’installation d’un feu tricolore à Wavre, au carrefour formé entre la Chaussée de Bruxelles et l’Avenue Lavoisière.

« Pour les automobilistes, tous les carrefours peuvent sembler identiques, » détaille Donato Spiteri, qui a supervisé ce chantier. « Mais ces feux renferment pas mal d’intelligence afin de faire en sorte que le trafic soit le plus fluide possible et que les utilisateurs des voiries soient en sécurité. »

Nos équipes ont dû faire appel à toutes leurs compétences afin de mener à bien ce projet mêlant électricité, domotique et informatique. « De nombreuses techniques spéciales sont incorporées dans ces feux. Il y a évidemment des caméras de détection capables de contrôler le flux automobile. Mais surtout, la voirie est équipée de sondes (des magnétomètres fonctionnant par transmission sans fil) qui ont pour but de libérer ou de fermer le carrefour en fonction du trafic. »

D’autres techniques modernes comme l’utilisation de feux led ou l‘alimentation électrique en basse tension ont également été utilisées.  En plus de toute cette complexité, l’expérience des équipes était également primordiale au moment de réaliser le câblage hyper complexe, chaque unité de poteau étant composée de 48 câbles. Sans parler du câblage interne aux armoires de commande.

Il s’agissait donc d’un fameux défi à relever pour Wanty. Un défi d’autant plus complexe quand on sait que ce carrefour voit passer près de 1.000 véhicules par heure lors des ses pics de fréquentation.

Le carrefour est désormais en circulation. Et le défi a été une fois de plus relevé par Wanty. La preuve? Deux feux tricolores d’une complexité identique sont déjà en commande. Le premier à La Louvière (Strépy-Bracquegnies), le second à Tournai.

« Je tiens à remercier toutes les équipes qui ont travaillé sur ce projet. Et en particulier Romuald et Jonny, qui en ont été les chevilles ouvrières. » Ils sont désormais surnommés « plus » et « moins » par leurs collègues.